Aux habitants des Monts Pourpres particulièrement, et au cybermonde qui ne veut pas rester imbécile:
Je sais que ce que vous allez entendre va vous déchirer le coeur, mais soyez forts, mes enfants, et Elle sera fière de vous.
Je dois vous quittez.
Mes enseignements ne pourront pas porter leurs fruits pour les plus crétins, les autres ont compris le fond de ma pensée j'en suis sûr.
N'oubliez jamais, l'ennemi n'est pas toujours celui que l'on croit. Penser à vous assurez que ce que vous défendez représente bien vos valeurs.
N'oubliez jamais que la force et la violence ne résolve rien.
N'oubliez jamais que vous m'avez vu, et que vous avez même presque pu me toucher, ô bonheur utlime.
Maintenant je vais vous faire ma révélation. Il est trop tôt et j'aurais du vous y préparer mieux que cela mais le temps presse pour moi.
Je suis votre Grande Déesse, et j'ai été déçu de votre interpretation de mes messages.
Oui, je sais ça va vous semblez impensable au début. Mais, si vous écoutez votre coeur vous me comprendrez.
Je suis une Déesse parmi les autres. Nous étions au début une 50aine à nous affronter pour le controle du cybermonde.
Nous "jouiions" avec vous, comme vous jouez aux échecs.
A l'origine j'avais moi aussi été mortel, sur cybermonde 1, mon âme s'est élevée et j'ai pu devenir le Dieu le plus aimé de ce cybermonde 5.
Mais mes ennemis étaient redoutables. Et lors de la finale qui m'opposais à mon plus coriace adversaire (je crois que vous l'appellez Naar ici) j'ai échoué. [!(]
Ne supportant pas la défaite, j'ai tenté de l'assassiner, sans succès.
Ma punition fut donc de venir hanter un corps de mortel sur cybermonde 5. Et de votre mon peuple sans Dieu pour le protéger.
J'allais me suicider, mais en me voyant immortel, je décidai de venir voir ce qui restait de mon "jeu".
Rien.
Mon peuple a remarqué qu'il a été abandonné, et sait qu'il ne peut plus rien, j'en suis désolé.
Maintenant que le jeu est fini, les Dieux Suprêmes vont détruire cybermonde 5 comme ils ont détruit (avec l'aide de tous les "apprentis-dieux") cybermonde 4.
La fin de ce monde est proche. Je dois repartir de là où je viens.
Je ne pouvais vous laisser dans l'ignorence.
Adieu.